Andrea Mastrovito, Enciclopedia dei fiori da Giardino, Courtesy 1000eventi gallery (Milan)
      Andrea Mastrovito, Enciclopedia dei fiori da Giardino, Courtesy 1000eventi gallery (Milan)
Texte de Andrea Bruciati, in Paper tigers
L'oeuvre d'Andrea Mastrovito se prête à plusieurs niveaux de lecture : soit purement sensoriel en surface, soit réflexion métalinguistique basée sur le principe d'incertitude. Pour cet artiste indubitablement postmoderne, tout le savoir humain bénéficie de la même dignité et de la même considération et le non choix des modes d'expression se comprend dès lors aisément. Que notre monde soit surpeuplé d'images, que chaque geste créatif ait été inexorablement accompli, puisse être proposé comme réitération ou comme distorsion, tout cela constitue la trame même de notre modernité dans laquelle le caractère temporaire de l'imagination se prête à l'exténuation et à une torsion du moderne.
[... Créativité exubérante. Sentiment de désillusions... ]
Pour l'artiste, signes comme mots s'entremêlent, s'enchaînent jusqu'à faire émerger de nouvelles références, images ou absurdités qui, elles-
Débordant d'énergie, et éclectique, Mastrovito aime à disposer avec amusement, délicatesse et singularité des signes de l'Histoire et de la réalité. Sa façon aérienne permet de retrouver le fil de son imagination. Son travail suit un parcours léger et introspectif, tellement uni et continu qu'il accepte que le hasard fasse partie de ses possibilités. Le dessin est un support multifonctionnel comme le papier -
      
      Exposition du 25 juin au 30 août 2009. Centre d'art contemporain de Lacoux, "l'école" -
Archives expositions personnelles (M)
      L’art qui dialogue avec l’environnement
Communiqué de presse
Le centre d'art contemporain de Lacoux dévoile cet été le travail frais et inventif d'Andrea Mastrovito, reconnu sur la scène artistique internationale mais peu connu en France.
Originaire de Bergame et résidant entre cette cité et New-
Sous un angle naturaliste, l'artiste présente des créations récentes qui relèvent de la prospection sur la naissance des choses, la germination de l'oeuvre, le passage du singulier à l'universel, de la multiplicité à l'unité. Peu dévoilées au public pour la plupart, elles offrent une vision homogène d'un travail éclectique et délicat, et d'une mythologie personnelle surprenante.
L'exposition -
Andrea Mastrovito, La bonne nouvelle
Centre d’art de Lacoux, Hauteville Lompnes 
 25.06 -
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